Entre Pertuis et Meyrargues, le voleur de motos échappe à la prison et promet d’aller se mettre au vert
Mateo a les traits fins, les cheveux mi-longs ramenés derrière les oreilles, des cernes et une barbe de deux jours qui lui donnent des airs de d’Artagnan esseulé. Il se retourne de temps en temps vers le banc où siègent ses parents, qui…