Il avait interdiction de la revoir, après avoir été condamné, déjà, pour des violences conjugales. En juillet, l’homme de 19 ans avait échappé à l’incarcération. Pas cette fois.
Ce mercredi 29 novembre 2023, un homme de 46 ans, habitant Lascelle, a été placé en garde pour détention non autorisée d’armes. Il est suspecté, aussi, de violences sur son fils.
** Accident, 1 VL, N122, de Figeac (N140) vers Massiac (A75) (sens ouest-est), au PR 30+500, à Saint-Mamet-la-Salvetat ; [Origine : DIR Massif-Central]
Deux corps, probablement ceux d’un couple, ont été retrouvés calcinés dans les décombres d’une ferme incendiée, lundi 27 novembre à Châteauvilain en Isère. Ce samedi 2 décembre, Valentin, leur fils âgé de 15 ans, a été retrouvé et placé en garde à vue.
Deux corps, probablement ceux d’un couple, ont été retrouvés calcinés dans les décombres d’une ferme incendiée, lundi 27 novembre à Châteauvilain en Isère. Ce samedi 2 décembre, leur fils âgé de 15 ans, a été retrouvé et placé en garde à vue.
Il a tout juste 18 ans, n’a pas le permis depuis longtemps. Il a encore l’âge d’être grondé par ses parents, mais il fait face au tribunal pour une fête d’anniversaire qui s’était mal terminée.
Les gendarmes ont perquisitionné, mardi 28 novembre, le domicile d’un homme de 46 ans, suspecté de violences sur son fils. Sur place, ils ont trouvé un impressionnant arsenal d’armes non déclarées.
Ce samedi 2 décembre 2023, France 3 diffuse Meurtres dans le Cantal. Au casting, Claire Perot, qui a gardé des attaches à La Tranche-sur-Mer, où ses parents possèdent une maison.
La Section de recherches de Grenoble lance, ce vendredi 1er décembre, un appel à témoins pour retrouver Valentin, un adolescent de 15 ans. Il pourrait avoir pris la fuite alors que deux corps calcinés, probablement ceux de ses parents, ont été retrouvés à Chateauvilain (Isère).
Samedi 2 décembre, à 21h10, France 3 diffusera un nouvel opus de sa collection à succès “Meurtres à”. Cette fois-ci, l’intrigue se déroule dans le Cantal. Voici trois bonnes raisons de regarder “Meurtres dans le Cantal”.
La circulation a été fortement perturbée sur la RN 122, entre Laveissière et le Lioran, en raison d’un éboulement ce lundi 27 novembre. Elle est gérée sous alternat jusqu’au jeudi 30 novembre.
Les confédérations paysannes du Puy-de-Dôme, du Cantal, de l’Allier et de la Haute-Loire se sont rassemblées ce mardi dans une ferme à Gerzat, pour signifier leur soutien aux militants anti-bassines de Sainte-Soline. Ils sont jugés au tribunal de Niort…
Le centre éducatif renforcé de Chanteperdrix, dans le Cantal, géré par l’ANEF, va accueillir ses premiers résidents. Des mineurs délinquants, placés sur décision judiciaire, qui seront encadrés par des éducateurs spécialisés, leur proposant un accueil individualisé.
Lundi 27 novembre, un éboulement de rochers s’est produit sur la RN 122, à Laveissière, près du Lioran, dans le Cantal. Il n’y a pas eu de blessé mais depuis cet après-midi, la circulation est fortement perturbée.
Le dimanche 26 novembre 2023 à 15h45, sur la RN 122 au niveau de Quézac, un homme de 21 ans, originaire du Cantal, a été contrôlé à 171 km/h au lieu de 80 km/h.
Cette action coup de poing, menée ce lundi 27 novembre, a été réalisée « à la demande du ministre de l’Intérieur », annonce la préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Les pompiers et les gendarmes du Cantal sont intervenus sur un accident de la route, ce dimanche 26 novembre, peu avant 17 heures. Un sexagénaire a perdu le contrôle de son SUV qui a fini sur le toit, dans la rivière L’Authre, à Jussac.
Les gendarmes du nord Cantal ont célébré leur sainte patronne lors d’une cérémonie à Saignes. Un bilan de leur activité, dressé à cette occasion, a fait ressortir une augmentation des délits.
Saint-Sulpice-les-Champs. Disparition d’une statue. disparition. Voici déjà plus d’un mois qu’elle ne trône plus au centre du bourg. Durant le week-end des 14-15 octobre, les habitants de Saint-Sulpice-les-Champs ont eu la mauvaise surprise …
Il n’y aura pas eu les acquittements demandés par la défense : les quatre coaccusés du saucissonnage d’un couple à Pierrefort en septembre 2020 ont été condamnés. Les réquisitions n’ont pas été suivies, largement revues à la baisse.
Le point sur les interventions des forces de sécurité et de secours, ce vendredi 24 novembre, en Auvergne, notamment dans le Puy-de-Dôme, l’Allier et le Cantal.
Elle aura été le ciment de cette semaine de procès devant la cour d’assises du Cantal. La « certitude » de la gendarme de la section de recherches a infusé pendant cinq jours de débats, tantôt pour demander des peines lourdes – jusqu’à vingt ans –, tantôt pour fustiger une enquête peu curieuse.
L’éventail des peines requises par l’avocate générale Adeline Gannac est large, à l’image de la personnalité des accusés. Elle a requis jusqu’à 20 ans de réclusion criminelle contre le principal accusé, Jordy Godart, en récidive.
Le couple a été réveillé en sursaut, en septembre 2020, menacé par les armes de poing de ses agresseurs. Trois ans plus tard, il n’a pas résisté à l’agression survenue à Pierrefort, en 2020.
Dans le dossier du saucissonnage de Pierrefort, les enquêteurs de la gendarmerie ont eu droit à une plongée en coulisse grâce au principal accusé, Jordy Godart. Incarcéré, il téléphone à des proches sans imaginer qu’il est écouté, menaçant les uns et se mettant d’accord avec les autres.