
Détenu en semi-liberté depuis un mois, Deavy n’a pas regagné le quartier ouvert de la maison d’arrêt de Nîmes, le 13 mai dernier. Reconnu par un policier de la BAC, il est interpellé dix jours plus tard dans un camp de gitan. Mais son évasion reste incompréhensible, à la barre du tribunal, mardi 24 mai.…