Au procès Lafarge, l’acceptation du « racket » des groupes jihadistes
« On avait le choix entre deux solutions, la pire et la moins pire ». Au procès de Lafarge, d’anciens cadres se sont expliqués sur les raisons pour lesquelles le cimentier était resté en Syrie jusqu’en 2014, moyennant des paiements à des groupes classés comme « terroristes ».Le tribunal correctionnel de Paris, qui juge le groupe et huit ex-responsables pour financement du terrorisme et…