« On préfère voir un bon père de famille plutôt qu’un enfant violenté » : une avocate alerte sur un déni sociétal
La loi française impose aux enfants une obligation alimentaire vis-à-vis de leurs parents s’ils ne peuvent subvenir à leurs besoins. Pour les enfants maltraités ou abandonnés, c’est une double peine qui les replonge dans le traumatisme, explique l’avocate toulousaine Myriam Guedj-Benayoun.