Plainte pour injure publique contre Brigitte Macron : « C’est la première dame de France, sa parole compte », pointe l’avocate des plaignantes
Brigitte Macron s’est dite « désolée » d’avoir blessé des femmes victimes de violences mais ne pas « regretter » d’avoir soutenu « un ami ». « Il y a une dissociation entre les discours et ce qui est pensé intimement, c’est ça qui est triste », relève l’avocate.