À Faches-Thumesnil, Patrick Proisy a misé sur la rupture plutôt que la révolution
-Que retenez-vous de ce premier mandat qui s’achève?«L’attachement des habitants à la figure de maire, que j’avais peut-être sous-estimé. J’ai porté plainte quatre ou cinq fois pendant ce mandat pour de micro-événements, le reste du temps j’ai vraiment ressenti que le maire représente toujours quelque chose pour les gens. J’ai voulu incarner le côté élu de proximité, être là pour…