La saisie de ses vaches de bon matin, Gino Bolzan ne la digère toujours pas. «Quand j’ai vu la police arriver, je me suis dit : « Qu’est-ce que j’ai encore fait ? »…», soupire-t-il en repensant à ce matin du 11 octobre. Car cet éleveur de Pont-sur-Sa…