La maison d’arrêt de Nantes s’est changée, dimanche 9 novembre, en champ de bataille. Lame artisanale, couteau en céramique, quatre détenus blessés plus ou moins gravement : « ce combat de rue armé », comme ils le décrivent, provoque pas mal d’inquiétude chez les surveillants. Malgré une forme d’habitude. « La veille, il y en avait eu une autre », soupire l’un d’eux. « On constate que…