Besançon. Procès Péchier : les larmes de l’anesthésiste coulent enfin, pour lui-même et pour les siens
Interrogé pour la dernière fois du procès ce vendredi, Frédéric Péchier n’a pu retenir ses larmes à l’évocation du cauchemar vécu par ses enfants, présents dans la salle. S’il était l’empoisonneur, l’anesthésiste serait passé aux aveux « pour soulager sa famille », assure-t-il. Place désormais aux plaidoiries.