Cappelle-la-Grande : une fillette martyrisée, le beau-père envoyé en prison ferme

Il me pinçait la peau et la tournait, des fois maman mettait de la glace. Quand il s’énervait, il me mettait un coup de tête au niveau du front, des gifles au visage ou encore des coups de poing, de pied ou de genoux. C’était quasiment chaque jour depuis la fin du CP, jusqu’en 6e. Sauf une fois où il…