Gap. « C’est vrai que c’est bon pour la gorge, le crack » : le prévenu, complice ou consommateur ?
Parmi les deux prévenus de l’audience du 29 octobre au tribunal de Gap, l’un a reconnu les faits de trafic de stupéfiants. Mais l’autre, jugé pour complicité, a donné plus de fil à retordre aux magistrats.