Depuis treize mois qu’il n’est plus ministre, Éric Dupond-Moretti savoure une certaine « liberté retrouvée ». Le voilà donc qui déboule pile à l’heure dans les locaux parisiens de son éditeur, sans cravate – il s’était résolu à la porter place Vendôme « par respect envers la fonction et la République » –, mais avec Jean-Claude, son fidèle teckel.« Alors,…