Loire. Le mensonge sur son excès de vitesse lui vaut 350 euros d’amende et un licenciement
Un Stéphanois de 30 ans a rapidement gravi quelques échelons de la petite délinquance. Verbalisé pour un excès de vitesse, il conteste l’ordonnance pénale en présentant une attestation devant le tribunal de police. Le document est faux, il se retrouve en correctionnelle pour assumer cette fois une escroquerie.