«C’était un réflexe. J’ai agi par instinct de survie.» Au tribunal d’Avesnes-sur-Helpe, Loïc Goubet maintient sa version des faits. Le 21 mai 2024, s’il a poignardé son beau-frère, c’était uniquement pour se défendre lui et sa compagne. Cette nuit-là, …