Moselle. Protoxyde d’azote au volant : le combat d’une mère pour l’interdire après avoir perdu son fils dans un accident
Amandine Scattarreggia mène une lutte acharnée depuis cinq ans et le décès de son fils, Kenny, pour faire interdire la détention et la consommation de protoxyde d’azote. Après le décès de Mathis, 19 ans, fauché par un chauffard sous protoxyde d’azote début novembre à Lille, elle réagit et déplore le vide juridique.