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En ce sixième jour de procès, Maylis Daubon, accusée d’avoir empoisonné ses deux filles dont une mortellement, était appelée à la barre de la cour d’assises des Landes, pour répondre des faits qui lui sont reprochés. L’accusée est revenue sur le jour de la mort d’Enea, sa fille aînée, en donnant sa version des faits.

Ce sont des experts unanimes sur la personnalité de l’accusée qui témoignent à la barre de la cour d’assises des Landes, à Mont-de-Marsan, ce 1er décembre. Maylis Daubon, accusée d’avoir empoisonné ses deux filles, est jugée depuis le 24 novembre. Tous, parlent d’une femme dans l’exagération, le théâtralisme, la dramatisation jusqu’à la victimisation.

C’est sans doute le témoignage le plus attendu du procès de Maylis Daubon, accusée d’avoir empoisonné ses deux filles. L’aînée, Enea, est décédée en 2019. Luan, sa fille cadette, elle aussi, victime présumée de sa mère, était appelée comme témoin à la Cour d’assises des Landes. Un moment clé du procès.

Au cinquième jour du procès de Maylis Daubon accusée d’avoir empoisonné ses deux filles dont une mortellement, la cour d’assises des Landes a entendu, ce vendredi 28 novembre, un ancien ami de la famille, présent le jour du malaise d’Enea. Un témoignage attendu qui défend, lui aussi, la thèse du suicide.

Ce jeudi 27 novembre, les deux meilleures amies d’Enea sont venues témoigner devant la cour d’assises des Landes, à Mont-de-Marsan, dans le cadre du procès de Maylis Daubon, accusée d’avoir empoisonné ses deux filles. Les deux jeunes femmes ont affirmé sans relâche qu’Enea s’était suicidée, des propos à l’exact opposé de leurs premières dépositions.

La Cour d’assises des Landes s’est intéressée ce mercredi aux obsèques d’Enea, morte après avoir ingéré une dose létale de propranolol. Une cérémonie « décalée », où l’accusée se serait mise en scène. Sa mère, Maylis Daubon est accusée de l’empoisonnement mortel.

Ce mercredi, la Cour d’assises des Landes, à Mont-de-Marsan, s’intéresse à la famille de l’accusée. Les uns après les autres, le père, la mère et le frère de Maylis Daubon sont venus témoigner à la barre. Une famille soudée derrière celle qui est accusée d’avoir empoisonné ses deux filles dont une mortellement.

Une enquêtrice sociale, Geneviève Pendanx, avait tiré la sonnette d’alarme auprès d’un juge aux affaires familiales suite au divorce des parents d’Enea et Luan. Alors qu’elle témoigne devant la cour d’assises des Landes, elle témoigne de la difficulté à mener une enquête sociale face à la personnalité mythomane de Maylis Daubon.

En ce deuxième jour de procès, la cour d’assises des Landes à Mont-de-Marsan s’intéresse à l’emploi du temps de Maylis Daubon le jour de la mort de sa fille. Appelés à la barre, les différents enquêteurs vont tous montrer des incohérences dans les récits de l’accusée.

Elle est jugée devant la cour d’assises des Landes depuis ce lundi 24 novembre. Maylis Daubon, 53 ans, est accusée d’avoir empoisonné ses deux filles, Enea et Luan. L’accusée est décrite par de nombreux témoins comme « mythomane », « affabulatrice » et « extravagante ». Mais qui se cache réellement derrière cette mère de famille ?