Une enquêtrice sociale, Geneviève Pendanx, avait tiré la sonnette d’alarme auprès d’un juge aux affaires familiales suite au divorce des parents d’Enea et Luan. Alors qu’elle témoigne devant la cour d’assises des Landes, elle témoigne de la difficulté à mener une enquête sociale face à la personnalité mythomane de Maylis Daubon.

En ce deuxième jour de procès, la cour d’assises des Landes à Mont-de-Marsan s’intéresse à l’emploi du temps de Maylis Daubon le jour de la mort de sa fille. Appelés à la barre, les différents enquêteurs vont tous montrer des incohérences dans les récits de l’accusée.

Elle est jugée devant la cour d’assises des Landes depuis ce lundi 24 novembre. Maylis Daubon, 53 ans, est accusée d’avoir empoisonné ses deux filles, Enea et Luan. L’accusée est décrite par de nombreux témoins comme « mythomane », « affabulatrice » et « extravagante ». Mais qui se cache réellement derrière cette mère de famille ?