Trélazé - Faits Divers Délits Justice en Direct
ENQUÊTE. Une crèche ferme ses portes après une campagne d’intimidation et de harcèlement en ligne | Courrier de l’Ouest
Un agent de sécurité surveillant les allées et venues, des parents un peu confus et le personnel qui travaille avec la boule au ventre. Un climat de psychose a envahi la crèche Le Puits d’Emerveille à Trélazé. J’ai eu très peur , confie une maman croisée sur place ce lundi 13 octobre. Le doute a été semé.…
Crèche fermée à la suite d’une vague de cyberharcèlement : « L’ambiance sociétale est à la haine » | Courrier de l’Ouest
Ancien chroniqueur judiciaire, le journaliste et écrivain Pierre Rancé a consacré un livre enquête à l’auto-justice, publié en 2025 chez Plon. Un phénomène dont l’histoire de la crèche de Trélazé serait un cas d’école. Qu’est-ce que l’auto-justice ? Pierre Rancé : « L’auto-justice part d’abord d’un sentiment d’injustice quand des personnes à tort ou à raison pensent que…
Ivre, il percute une cuve de fioul avec son véhicule : une fuite importante près d’Angers
Il était environ 23 h, ce vendredi 10 octobre 2025, lorsqu’un homme âgé de 47 ans a percuté une cuve de fioul dans une zone industrielle de Trélazé (Maine-et-Loire) avec son véhicule. Lire aussi : Une vingtaine de voitures dégradées dans cette commune près d’Angers, la gendarmerie intervient L’accident a entraîné une fuite importante de fioul. Une centaine de…
Elle avait mis feu à l’appartement de ses voisins car ils refusaient de l’emmener au supermarché
Les faits se déroulent le 16 juillet 2025 à Trélazé, près d’Angers (Maine-et-Loire) dans l’après-midi. Une femme de 52 ans demande à des voisins de l’emmener faire des courses au supermarché, mais ces derniers refusent. « Je vais cramer ta voiture », leur répond-elle, entre autres intimidations. Lire aussi : Remonté contre la construction de sa voisine, il estimait…
Odeur suspecte dans un collège près d’Angers : les cours ont repris ce lundi
Les élèves et les enseignants du collège Jean-Rostand de Trélazé, près d’Angers (Maine-et-Loire), ont fait leur retour dans l’établissement, après deux semaines de crise. Pour rappel, les élèves de cet établissement avaient été renvoyés chez eux, le 16 septembre, après le signalement « d’une forte odeur » accompagnée, pour certains, « d’irritations dans la gorge et de maux de tête »…