POINT DE VUE. « Pour la reconnaissance des primo intervenants comme victimes du terrorisme »
« Ils sont pompiers, policiers, gendarmes, membres du Samu, bénévoles associatifs, démineurs, agents de l’administration pénitentiaire, ou simples citoyens. Ils ont été confrontés à une scène de guerre sur notre sol, un matin de janvier, un soir de novembre, ou encore un jour de Fête nationale, à la terrasse d’un restaurant, dans une salle de rédaction ou de concert, un marché…