Procès des viols de Mazan: quand les victimes de viol refusent le huis clos pour « lutter contre le déni sociétal »
Le procès des 51 hommes jugés pour avoir violée une femme, droguée par son mari, ne devrait pas se tenir à huis clos. Malgré l’atrocité des faits qu’elle a subis, Gisèle la victime, une septuagénaire, ne veut pas que « la honte change de camp ».