« Rien ne peut apaiser la douleur » : dix ans après la mort de Djamila Houd, sa soeur témoigne
Sous un ciel gris et bas, les terrasses désertes de la grande rue Maurice-Viollette rappellent d’autres soirées plus sombres. Ce soir du 10 novembre, l’ambiance est morose dans le centre-ville de Dreux. En cherchant un café encore ouvert, Claire Tassadit Houd remonte le fil du temps.Pour L’Echo Républicain, elle a accepté de replonger dans les souvenirs de cette nuit d’effroi survenue…