Savoie. Protoxyde d’azote : « L’hôpital de Chambéry a dû gérer quelques cas de neuropathies de la face »
Aucun cas mortel n’est à déplorer en Savoie suite à la consommation de gaz hilarant mais le phénomène est assez préoccupant pour faire réagir la préfète qui interdit la détention, le transport et la consommation de protoxyde d’azote à des fins récréatives. Qu’en est-il du côté de l’hôpital ?