Accusé d’avoir profité de dizaines de milliers d’euros de frais de déplacement indus, versés entre 2013 et 2020 par l’université d’Orléans et par l’Institut de prévention et de recherche sur l’ostéoporose (Ipros), l’ex-directeur de l’UFR des Sciences et techniques assure ne pas avoir « triché ».