Violences intrafamiliales : la lente libération de la parole en zone rurale
Quel bilan tirez-vous après trois ans de présence dans le sud Artois?«Le nombre de saisines est constant, il a été élevé dès la première année. La plupart émanent des gendarmes (270) mais je suis aussi sollicité par les partenaires extérieurs (pharmacie, élus, associations du champ social, etc.) ou en direct par des personnes qui m’ont identifiée. Les saisines hors gendarmerie…