Des familles étrangères, soutenues par un collectif, ont trouvé un toit depuis dimanche 14 avril, sous les tentes de la Maison du peuple, en centre-ville de Clermont-Ferrand. Parmi elles, un couple qui se bat pour que ses deux fillettes n’aient pas à subir les mutilations vécues par leur mère dans son pays de naissance.