Procès de l’attentat de Strasbourg : « S’il n’y a pas d’arme, il n’y a pas d’attentat, pas de morts » rappelle un rescapé
Le 11 décembre 2018, à Strasbourg, Fabrice Reysz, 44 ans, a reçu une balle en plein visage de la part du terroriste. Miraculé mais traumatisé, il a raconté ce mardi devant la cour d’assises de Paris la soirée de l’attentat et ses conséquences.